Katherine n’avait pas réalisé que la physiothérapie pouvait l’aider à résoudre ses problèmes respiratoires.
Transcription
Initially, I didn’t really understand what good physiotherapy could possibly do for me, because my symptoms were – like my arms, my legs were fine. I didn’t really understand that there are so many muscles involved in breathing that you could actually exercise, so I was pretty skeptical at first. But I had a really good experience with community physiotherapy, so I, basically, just – I want to say, threw caution to the wind. But it was more put my faith in the expertise of the physiotherapists and did what they told me to do. And it was sort of a slow and steady like, “Can you do this? How long could you tolerate this?” And through that process, I learned that I also was experiencing some more neurological symptoms: dizziness, lack of coordination, extremely low tolerance for anything that involved physical anything. So, whereas, walking from room to room, walking from my hallway to the elevator, walking from the elevator to my car, used to trigger it. Now, I found pushing myself a little further, it didn’t necessarily exacerbate symptoms, but it helped me identify new ones, mostly neurological. Which really surprised me, because I thought that COVID was a disease that attacked – or an infection that attacked your lungs, your – like things that would normally affect you when you have a cold: your nose, your ears, perhaps, your breathing. I certainly didn’t think that there could be any correlation between any neurological anything and COVID.
[Au départ, je ne comprenais pas vraiment ce que la physiothérapie pouvait faire pour moi, parce que mes symptômes étaient… mes bras, mes jambes allaient bien. Je n’avais pas vraiment compris qu’il y avait autant de muscles impliqués dans la respiration, que l’on pouvait travailler. J’étais donc assez sceptique au début. Mais j’avais eu une très bonne expérience avec la physiothérapie communautaire, alors j’ai, en fait, juste envie de dire, jeté la prudence au vent. Mais j’ai plutôt fait confiance à l’expertise des physiothérapeutes et je les ai écouté·es. C’était en quelque sorte un processus lent et régulier : « Pouvez-vous faire cela? Combien de temps pourriez-vous tolérer cela? » Au cours de ce processus, j’ai découvert que je présentais aussi d’autres symptômes neurologiques : des vertiges, un manque de coordination, une tolérance extrêmement faible à tout ce qui impliquait une activité physique. Ainsi, marcher d’une pièce à l’autre, de mon couloir à l’ascenseur, de l’ascenseur à ma voiture, pouvait déclencher les symptômes. Maintenant, j’ai découvert qu’en me poussant un peu plus loin, je n’exacerbais pas nécessairement les symptômes, mais que cela m’aidait à en identifier de nouveaux, principalement neurologiques. Ce qui m’a vraiment surprise, car je pensais que la COVID était une maladie ou une infection qui attaquait vos poumons, les choses qui vous affectent normalement lorsque vous avez un rhume, comme votre nez, vos oreilles, peut-être votre respiration. Je ne pensais certainement pas qu’il y avait une corrélation possible entre un problème neurologique et la COVID.] Traduction de l’original anglais.
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