Chris a recours à la thérapie cognitivo-comportementale (TCC) pour reprendre certaines activités de sa vie.

Transcription

So one thing, at the outset, they talked about, which comes from cognitive behavioural therapy, is avoidance and thinking about, why we avoid things, what drives us to avoidance and what we get out of that, versus what it costs us … Are we avoiding it because we’re catastrophizing about the worst-case scenario as opposed to what’s likely to happen? So if we decide to go through with whatever activity you were going to plan, what then can we do to approach it? So everything from sleep hygiene and the night before, or several nights leading up to it. How we approach eating, before and after. Making sure hydration – and in my case because I have POTS, hydration is salt – and making sure the electrolytes are OK. So just – some very basic things – but instead of getting into the, “Oh, I couldn’t possibly take my daughter to the park because I could get dizzy, or faint, or something can flare up.” And sort of ways, how can you go about approaching it in a systematic way, to make it more likely to work? So think about beforehand, who’s going to drive you? Where are you going to park? Is there an area where you know there are benches, so that if that dizziness does come up, you can take a break? Or after you’re standing for a little while, you can take a break. I just went and got a small collapsible stool that I can take with me, so if there aren’t benches, I could just have that in my daughter’s stroller. So it’s a lot of very practical, simple things, that are designed to just (a) alleviate some of our anxiety about doing it in the first place, by building some simple [laughs] structures for us to follow.

[Au départ, iels ont parlé de l’évitement et de la réflexion sur les raisons pour lesquelles nous évitons les choses, sur ce qui nous pousse à les éluder et sur ce que nous en retirons par rapport à ce que cela nous coûte. Est-ce que nous évitons les choses parce que nous envisageons le pire scénario au lieu de penser à ce qui va probablement se passer? Si nous décidons d’organiser une activité, quelle qu’elle soit, que pouvons-nous faire pour nous y préparer? Tout, depuis l’hygiène du sommeil jusqu’à la nuit précédant l’activité, ou plusieurs nuits avant celle-ci. Comment nous abordons l’alimentation, avant et après. S’assurer de l’hydratation, et dans mon cas du fait que je souffre de STOP, le sel, et s’assurer que les électrolytes sont adéquats. Ce sont des choses très élémentaires, mais au lieu de se dire « Oh, je ne peux pas emmener ma fille au parc parce que je risque d’avoir des vertiges, de m’évanouir ou d’avoir une poussée d’urticaire ». Il s’agit plutôt de se demander comment on peut aborder la question de manière systématique, afin d’augmenter les chances de réussite. Réfléchissez à l’avance : qui va vous conduire? Où allez-vous vous stationner? Y a-t-il un endroit où vous savez qu’il y a des bancs, de sorte que si vous avez des vertiges, vous puissiez faire une pause? Ou bien, après être resté debout pendant un petit moment, vous pouvez faire une pause. J’ai acheté un petit tabouret pliable que je peux emporter avec moi, de sorte que s’il n’y a pas de bancs, je peux le mettre dans la poussette de ma fille. Il s’agit donc d’un grand nombre de choses très pratiques et très simples, conçues pour (a) atténuer notre anxiété à l’idée de le faire en premier lieu, en construisant des structures simples [rires] que nous pouvons suivre.] Traduction de l’original anglais.

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