Care Delivery – Debbie

 

Debbie décrit une « mise à niveau » de son stimulateur cardiaque qui s’est avérée être une épreuve.

Transcription

And the pacemaker, that was an ordeal in itself … I came into the clinic for the pacemaker and they check you and all of that. And so, the doctor told me that, she said, ‘We have an upgrade.’ So, I’m on the table and they’re saying, ‘We’re going to give you lots of good stuff. And I said, ‘Will it put me to sleep?’ They said, ‘No.’ I said, ‘Well, most drugs just put me to sleep. Even if you give me something to, you know to dry my mouth out, it puts me to sleep.’ Anyway, I was awake and now and then I would snooze off and then I would wake up with pain because it hurt so much when he was trying to put that new defib pacemaker into me. It was horrible. I mean absolutely horrible pain. And I thought, ‘I had enough pain. I’m tired of it. I don’t want any more pain.’ And I cried out and he would say, ‘Oh, I’m sorry.’ He was having a hard time putting it in because of the scarred tissue from the radiation from breast cancer. So, they finally got it in and I was not happy. I was miserable, thinking why would they put me through this. Why didn’t they just put me out. They said, ‘Well, you’re in the cardiac Cath lab and we don’t put patients out here.’ I said, ‘Well, you know you should especially for me.

[Le stimulateur cardiaque a été une épreuve en soi. Je me suis rendue à la clinique pour le stimulateur cardiaque, iels vous examinent, etc. La médecin m’a alors informée qu’iels avaient une mise à niveau… Je me suis donc allongée sur la table d’opération et iels m’ont dit : « Nous allons vous administrer de nombreux médicaments efficaces. » Je leur ai demandé : « Est-ce que cela va m’endormir? » Iels m’ont répondu : « Non. » J’ai répondu : « Eh bien, la plupart des médicaments m’endorment. Même si vous me donnez quelque chose pour assécher ma bouche, cela m’endort. » Quoi qu’il en soit, j’étais éveillée, et de temps en temps, je m’assoupissais. Puis je me réveillais avec une douleur intense, car cela faisait très mal lorsqu’elle essayait de m’implanter ce nouveau défibrillateur. C’était horrible. Une douleur absolument horrible. Et je me suis dit : « J’ai assez souffert. J’en ai assez. Je ne veux plus souffrir. » J’ai crié, et elle m’a répondu : « Oh, je suis désolé. » Elle avait du mal à l’implanter à cause des tissus cicatriciels résultant de la radiothérapie pour le cancer du sein. Iels y sont finalement parvenus, mais je n’étais pas satisfaite. J’étais malheureuse et je me demandais pourquoi iels me faisaient subir cela. Pourquoi ne m’avaient-iels pas simplement endormie? Iels m’ont répondu : « Vous êtes dans le laboratoire de cathétérisme cardiaque, et nous n’endormons pas les patient·es ici. » Je leur ai répondu : « Vous savez, vous devriez le faire, surtout pour moi. »] Traduction de l’original anglais.


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