Joanne évoque le manque de cardiologues dans sa région et explique à quel point il était essentiel pour elle de consulter un deuxième avis dans un centre plus important afin de bénéficier de soins.

Transcription

Another issue with being [up north] is that we don’t have cardiologists so you have to go outside. You have to get a referral out of town and you basically have to go wherever they send you. But because I felt that I wasn’t getting the care, I wanted a second opinion. So I did manage to go to [large city] which I am lucky. And again thankfully someone in the health system said maybe we could get you here. ‘Try this, do that’. And again, without knowing, you just assume that your doctor would send you to someone reliable that would like. But anyways lesson learned.

[Un autre problème lié au fait d’habiter (dans le Nord), c’est qu’il n’y a pas de cardiologue, donc il faut aller ailleurs. Il faut obtenir une recommandation pour sortir de la ville et, en gros, on vous envoie là où on veut. Cependant, comme j’avais l’impression de ne pas recevoir les soins nécessaires, j’ai souhaité obtenir un deuxième avis. J’ai donc réussi à me rendre dans une grande ville, ce qui est une chance. Et, une fois de plus, j’ai eu de la chance : quelqu’un du système de santé m’a dit qu’il était peut-être possible de m’y envoyer. « Essayez ceci, faites cela. » Et encore une fois, sans le savoir, on suppose simplement que son·sa médecin nous enverra vers quelqu’un de fiable et qui nous conviendra. Mais non, j’ai retenu la leçon.] Traduction de l’original anglais.

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