Louise partage son expérience concernant ses incertitudes quant au dispositif qu’elle s’est fait implanter.
Témoignage écrit
I was flown to Calgary again after a second STEMI heart attack in March 2017. I had fallen unconscious before the heart attack, so more than just my heart was in recovery. My head, face and body were battered and my eyes swollen and injured. Cardiac intervention was delayed until I stabilized. After I got out of the cardiac ICU, I was in cardiac recovery again. Then the ICD Clinic people and doctors came to see me a few times. I had been told I had an electrical problem with my heart three months earlier, but I hadn’t looked into it yet. They said ‘we know you have an appointment to meet with us in May, but we would like to give you an implanted device now, while you’re in Calgary and in the hospital’.
I was alone and in shock, and not totally understanding everything. I think it kind of progressed from the ICD people saying I needed a pacemaker, which later changed to an ICD, and then to a 2-lead ICD. I met one or two electrophysiologists, and someone brought me a sample device at one point, and I took a picture of it. I did agree to the procedure, and they implanted my device. Something that I knew almost nothing about for years, until there were problems. I later saw that it was a CRT in my photo, and in my compromised condition, I thought that’s what I had received. It wasn’t. I had a 2-lead ICD that was a combined defibrillator and pacemaker.
[J’ai de nouveau été transportée par avion à Calgary en mars 2017, après une deuxième crise cardiaque STEMI. J’avais perdu connaissance avant la crise, donc ce n’était pas seulement mon cœur qui était en convalescence. Ma tête, mon visage et mon corps étaient meurtris et mes yeux enflés et blessés. L’intervention cardiaque a été reportée jusqu’à ce que mon était se stabilise. Après ma sortie de l’unité de soins intensifs cardiaques, j’ai dû poursuivre ma convalescence. Ensuite, le personnel et les médecins de la clinique DAI sont venu·es me voir à plusieurs reprises. Trois mois plus tôt, on m’avait dit que j’avais un problème électrique au niveau du cœur, mais je n’avais pas encore pris de mesures. Iels m’ont dit : « Nous savons que vous avez un rendez-vous avec nous en mai, mais nous aimerions vous implanter un dispositif maintenant, pendant que vous êtes à Calgary et à l’hôpital. »
J’étais seule, sous le choc, et je ne comprenais pas tout parfaitement. Je pense que cela a changé lorsque les spécialistes du DAI m’ont dit que j’avais besoin d’un stimulateur cardiaque, qui s’est ensuite transformé en DAI, puis en DAI à deux sondes. J’ai rencontré un ou deux électrophysiologistes, et quelqu’un m’a apporté un échantillon de l’appareil à un moment donné. J’en ai pris une photo. J’ai accepté l’intervention, et iels m’ont implanté le dispositif. Je ne savais presque rien de cet appareil depuis des années, jusqu’à ce que des problèmes surviennent. J’ai ensuite vu sur la photo qu’il s’agissait d’un DRC, et compte tenu de mon état de santé fragile, j’ai pensé que c’était ce qu’on m’avait implanté. Ce n’était pas le cas. J’avais un DAI à deux sondes qui était à la fois un défibrillateur et un stimulateur cardiaque.] Traduction de l’original anglais.
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