Cher participe à deux programmes différents pour la COVID longue et bénéficie des deux.
Transcription
Les mercredis, je participe à la clinique de rétablissement post-COVID. Les jeudis, j’ai eu la chance de pouvoir consulter un spécialiste qui travaille normalement à la clinique BC Chronic Complex Diseases de l’école de médecine de l’Université de Colombie-Britannique… Je pense que cette clinique prodigue des conseils et des astuces sur le fractionnement et la gestion de l’énergie, et sur la façon de réduire le stimulus, etc. Il s’agit toujours d’un mode scientifique occidental selon lequel on peut traiter les symptômes sans avoir à parler de toutes les choses difficiles. Alors que la clinique du Dr [nom] se concentre sur une vision plus holistique de la personne. Donc la plupart des choses dont nous parlons sont d’ordre mental et émotionnel, et l’acceptation de cette maladie chronique qui, selon toute probabilité, ne disparaîtra jamais, et que vous devez essayer de vivre avec elle, et aborder la façon d’adopter un mode de vie différent. Ce sont donc les jeudis et les vendredis, je vais à un cours de mouvement en physiothérapie, encore une fois par l’intermédiaire de la clinique COVID longue. Et entre les deux, j’essaie de respirer beaucoup, parce que, encore une fois, ils ont découvert que la dysrégulation autonome qui est assez courante avec la COVID longue signifie que les rythmes respiratoires et les fréquences cardiaques des gens sont tout simplement bizarres.
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