Jennifer1 trouve que travailler avec un·e psychologue lui permet de se changer les idées.
Transcription
This is where I’m very happy that I have access to a psychologist. Because they get me out of my head. Because that’s when you start feeling like you know maybe they’re right. Maybe this is all you know in my head. And this is you know, isn’t actually like as bad as it is. And that’s – and your brain automatically does that. When you’re already not 100% and you’re, you know, dealing with a lot of what – like this is not normal. This is not you. This is not who you were before COVID. And so you start to question a lot of things. And having a psychologist to get you out of your head, and like see everything from a different perspective is huge.
[C’est là que je suis très heureuse d’avoir accès à un·e psychologue. Parce que ça me change les idées. C’est à ce moment-là que l’on commence à se dire qu’iels ont peut-être raison. Peut-être que c’est dans ma tête et que ce n’est pas aussi grave que ça en a l’air. Et c’est… votre cerveau le fait automatiquement. Quand vous n’êtes déjà pas à 100 % et que vous êtes, vous savez, en train de faire face à beaucoup de choses… comme ça, ce n’est pas normal. Ce n’est pas vous. Ce n’est pas ce que vous étiez avant la COVID. Vous commencez donc à remettre beaucoup de choses en question. Et le fait de consulter un·e psychologue pour vous sortir de votre tête et vous faire voir les choses d’un point de vue différent est très important.] Traduction de l’original anglais.
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