Debbra conseille aux autres femmes atteintes de cancer du sein de faire attention aux signes et aux symptômes persistants après les traitements.
Transcription
Les ressources sont limitées, il n’y aucun groupe de soutien pour les patients métastasés. La compréhension est limitée et j’appartiens au Saskatchewan Breast Cancer Connect qui sont un groupe de survivantes. Ce que je trouve affolant pour un groupe de femmes qui sont des survivantes du cancer du sein, ensuite qu’une de nous bascule et devienne… J’étais très inquiète pour le groupe parce qu’une de mes plus grandes peurs était que mon cancer récidive. Je n’étais donc pas certaine comment le groupe gérerait cela. C’est une chose angoissante et nous avons eu quelques conversations honnêtes et c’est l’une de leurs plus grandes peurs. Encore une fois ce groupe de femmes qui sont passées au travers une première fois, vous obtenez des réactions différentes d’elles aussi. Certaines d’entre elles ne peuvent envisager le fait que, et je suis l’une des plus jeunes dans le groupe présentement, et donc je suis ici, je pense que j’avais beaucoup de vitalité et j’étais énergique et ce genre de choses, et d’être frappée de nouveau… J’ai trouvé que je me retirais du groupe parce que je ne voulais pas leur faire peur et je ne voulais pas qu’elles soient confrontées à ce qu’elles pouvaient faire face.
Le Réseau canadien du cancer du sein a poussé et fait des représentations pour rendre – je pense que c’est le 13 octobre – le Mois de la sensibilisation au cancer métastatique, ou la Journée devrais-je dire. Parce que c’est l’autre chose, vous passez au travers comme patiente atteinte d’un cancer métastatique, vous continuez et entendez toutes sortes de choses au sujet de la survie et c’est seulement… c’est vraiment… tout est au sujet de ces femmes qui font face à leur processus mais elles… elles ont de l’espoir et ce genre de choses. Quelquefois vous avez l’impression de ne pas être à votre place et il n’y a pas de place pour vous parce que vous pensez : « Est-ce que je me classe comme survivante ou si je vais être… je ne serai pas une survivante parce que nous savons que je vais perdre la vie, mais où est ma place? À quelle partie suis-je attachée? » Et je pense que c’est quelque chose qu’il faut regarder de près.
Plus de contenu
- Thérapies alternatives et complémentaires – DebbraPour Debbra le counseling est un endroit sécuritaire pour parler de certaines de ses inquiétudes. Elle espère également que ce sera un filet de sécurité pour son fils.
- Chimiothérapie – DebbraDebbra a trouvé un autre oncologue avec l’aide d’une travailleuse sociale; son expérience avec la chimiothérapie s’est améliorée par la suite.
- Chirurgie de reconstruction – Debbra (2)Le chirurgien entrait, lui donnait son injection et partait; c'était impossible pour Debbra de lui parler.
- Chirurgie de reconstructionDebbra décrit la variété de produits prothétiques.
- Trouver et partager l’information – DebbraDebbra mentionne quelques bonnes ressources nationales.
- Relations avec les professionnels de la santé – DebbraDebbra montrait la photo de son fils au personnel afin d’humaniser la relation.
- Relations avec les professionnels de la santé – DebbraDebbra estime qu’il est possible d’être en désaccord avec les professionnels de la santé et de le communiquer d’une façon polie.
- Perspectives du parcours de soins – DebbraDebbra décrit les moments où elle a dû se battre pour les soins basés sur sa propre décision.
- Examen et diagnostic – DebbraDebbra s'est sentie dépassée lorsqu'on lui a laissé entendre qu'il pouvait s'agir d'un cancer du sein.
- Premiers symptômes – DebbraLe cancer mucineux, comme celui de Debbra, est rare et difficile à diagnostiquer à cause du manque de formation d'une masse.