Lorna a diminué ses activités sociales mais elle ne se sent pas lésée.

Transcription

Je suppose que j’ai diminué plein de choses pour moi maintenant. Parce qu’il ne conduit plus, il veut aller faire ses exercices. Le groupe de Parkinson a une classe d’exercices alors je ne fais pas les miens. J’avais l’habitude de faire de la natation mais ça ne fonctionne pas à cause du conflit d’horaire. Je dirais que cela a changé […] mais je me lève tôt maintenant et je vais marcher à la place. J’essaie de travailler à travers ça, mais je le fais. Je travaille un jour par semaine. Je suis bénévole à notre Centre 55+, le centre pour les personnes âgées, et j’aime vraiment ça. J’aime ça parce que ça me permet de garder mes compétences à jour. Des personnes différentes, quatre heures de… et c’est un endroit joyeux. Donc je n’ai pas cessé ça mais j’ai cessé d’autres choses, comme pour l’église et des choses comme ça. Je ne fais plus ça.

J’étais bénévole pour le Théâtre Magnus, un petit groupe de théâtre d’ici. J’aimais ça mais c’est le soir et il est tellement fatigué le soir. Je trouvais cela trop stressant de partir en le laissant à la maison. C’est correct parce que je l’ai fait pendant quelques vingt ans et c’était le temps d’un petit changement. Donc je suis à l’aise avec les activités que j’ai cessées. Ce n’est donc pas… je ne me sens pas lésée.

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