Les effets du comportement des bénéficiaires de soins – Shayna

 

Shayna déclare: "Cela fait une grande différence pour le proche aidant si le bénéficiaire de soins est capable de reconnaître les efforts et le bien-être du proche aidant."

Transcription

Bien premièrement à la personne malade, je crois que s’ils en sont capables, de donner. Je ne parle pas de la démence mais si une personne est cognitivement correcte, réalise ce qui se passe autour de vous, réalise qu’il y a un besoin là aussi. Je me souviens une fois où j’avais la grippe et mon mari a dit – nous avions une bonne relation –  « Ne t’en fais pas, je vais me faire à souper moi-même. » J’aurais voulu lui dire « Merci, j’aimerais un peu de soupe » ou « Je suis ici, allo! » Mais c’est ce qui arrive. Tout d’abord, le conjoint doit prendre la responsabilité pour le proche aidant. Ça peut être aussi simple que de s’assurer de faire livrer des fleurs une fois de temps en temps si vous êtes capable de faire un appel téléphonique. Ça ferait une grande différence de dire « merci », de dire « je m’excuse » pour rien. Tu n’as pas à t’excuser pour la maladie mais tu pourrais être désolé pour ce que ton conjoint traverse. Seulement, il y a tellement de choses auxquelles le conjoint en santé doit faire face, que l’autre conjoint peut simplement apprécier, reconnaître et simplement apprécier.


Plus de contenu